Tu erres dans mes nuits telle une ombre insidieuse
Tel le fantôme dont ma vie est désireuse
De ne jamais se séparer…
Je sens tout le temps ta présence latente
Cette onde réchauffante
Qui inonde mon âme,
Qui caresse ma peau.
Tu es le double ineffable de mon âme
Qui divague,
De mon corps qui tangue.
Tu es le nécessaire item
De cette vie qui s'emmêle
Et qui tremble
Tu es la nécessaire ivresse
De mon temps qui s'égraine
Au fil des au-revoirs...
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