Bien des nuits, loin de toi
Bien des nuits à espérer tes bras
Et la chaleur de ton souffle
Dans mon cou, dans mes cheveux ;
Toujours là, à m'éloigner du gouffre,
Toujours là pour écouter mes aveux.
Près de toi, je ne comprenais pas
Mais je vivais mes plus belles années
J'ai compris quand tu ne fus plus là
Et les larmes sur mes yeux ont perlé.
On comprend souvent trop tard
Quand pour rendre l'amour, il est trop tard.
Tu vivras à jamais dans mon coeur
Toujours là, près de cette chaleur
Toujours là, à m'apporter l'espoir
... et penser qu'il n'est jamais vraiment trop tard...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire