Tu aurais pu être une étoile filante
Dans ma vie pleine de promesse
Mais j'ai croisé ton regard aux lueurs changeantes
Je ne voyais déjà plus rien, le reste...
Oh! bien sûr, on ne sait pas tout de suite où mènent les attirances. Il a fallu un peu de temps, trop de temps avant que je ne m'aperçoive que je t'aimais. Et voilà dans mon coeur en partance, tout un bonheur remplacé par la tristesse.
Je ne voudrais pas ternir de si beaux souvenirs par trop de détresse mais je ne sais comment supporter ce vide, ce manque de tendresse.
Ö mon âme qui soupire, de te revoir, je rêve mais les kilomètres défilent ; je ne peux revenir en arrière... ce n'est pas faute d'y souscrire mais il est fini, bien fini le rêve...
Je ne réclame pas de trêve, je veux me souvenir des moindres instants, des moindres gestes de notre coexistence, tellement trop courte, tellement trop brève... Si tu savais combien je t'aime!
Tu aurais pu n'être qu'une image
J'aurais pu ne pas te connaitre
Tu aurais pu n'être pas davantage
Le temps d'une soupir, qu'une amourette
Mais mon coeur qui bat
Voudrait tant revenir en arrière
Parcourir à nouveau ces kilomètres
Qui m'éloignent de toi...
Je ne serai plus tout à fait la même
C'est trop grand comme je t'aime...
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