Sur
ce chemin qui serpente parmi les fleurs,
Nos
pas se sont répondus sur un rythme lent.
En
mémoire de ton ombre,
En
souvenir de ton sourire,
Nous
avons évoqué ton existence
Pour
effacer ton absence,
Cette
terrible conscience,
De
ton absence.
Et
même si tu seras toujours présent en nos mémoires,
Même
si ton rire et tes manies seront encore en nous
Il
est certain que dans le soir,
Aucun
parfum n’aura plus le même goût.
Il
n’y a rien qui pourra effacer ton absence,
Cette
terrible conscience
De
ton absence.
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