samedi 16 juin 2012

Au jardin du souvenir

Sur ce chemin qui serpente parmi les fleurs,
Nos pas se sont répondus sur un rythme lent.
En mémoire de ton ombre,
En souvenir de ton sourire,
Nous avons évoqué ton existence

Pour effacer ton absence,
Cette terrible conscience,
De ton absence.

Et même si tu seras toujours présent en nos mémoires,
Même si ton rire et tes manies seront encore en nous
Il est certain que dans le soir,
Aucun parfum n’aura plus le même goût.

Il n’y a rien qui pourra effacer ton absence,
Cette terrible conscience
De ton absence.

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