Les pas traînaient sur le trottoir
Jusqu'au croisement de nos regards
Tes yeux si bleus étaient captivants
Et sur tes lèvres vivait un sourire désarmant.
Nos coeurs unis dans le silence étaient bavards
Nos peaux, velours incomparables
Et dans l'esquisse de la tendresse
J'ai oublié quelques instants ma tristesse.
Les pas voguaient sur l'asphalte
La vie avait montré sa patte
Et dans la journée qui s'éteignait
Une étincelle au loin brillait...
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