Les nuits ravagées par les larmes et le drame
De mon amour pour toi
Les nuits ravagées par le charme qui s'acharne
A se jouer de moi
Pauvre enfant qu'on malmène, qu'on reprend
Et qu'on laisse, sans arrêt, sans remord
Pauvre enfant qu'on endort de sortilèges
Pauvre amour terrassé mais qui ne meurt jamais
Quand cesseras-tu de me faire souffrir ? Quel temps ?
Quels arpèges dans cette vie où le soleil, c'est toi ?
Quel amour damné m'avez-vous apporté, Dieu, plein de mystère ?
Pourquoi ainsi me détruire ?
Je voulais une romance qui suive la cadence des jours heureux ;
Je voulais que l'on s'aime comme sa main dans la mienne
Quelques gestes affectueux
Je voulais cette passion qui sans rime, ni raison nous aurait contraint à faire des folies dans ce monde endormi
Mais où est cet amour que l'on construit à petits pas ?
Où sont les caresses ?
Je me sens inutile, à présent, si fragile, en manque de tendresse
C'est si futile et parfois, si tragique, de t'aimer comme je t'aime
Mais tu t'en fous et je reste...
Abominablement seule.
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